« Nous ignorions où nous allions, ni même comment nous y allions, mais nous étions sûrs d’une chose : quand nous serions là-bas, nous y serions. Et ça, c’était déjà quelque chose, même si ce n’était rien. » S.J.Perelman
« Vivre une déprime équilibrée, consumer son destin, faire ce qu’on vous dit d’aimer, baver après les trains. Fusionner ses vertus et ses péchés, assurer ses chutes et cette sommets, s’accrocher aux poils du futur. Et toujours tout médiatiser ».
« Un poète russe est allé alors au bout du monde, et a craché sur le rien.
En fait c’était, de bonne foi !
Merci deux fois !
Je vois maintenant le pouvoir de votre caractérisation.
Et qu’il est maintenant possible de défendre sa position.
Séchez les attestations,
Esquiver les formalisation,
Renoncer aux permissions,
Court-circuiter les permissions,
Ignorer les définitions,
Embrasser les institutions,
Invoquer les contradictions,
Épouser les oppositions, et garder tous les reçus. Un jour je balayerai vraiment toute cette travailles des rues.
À partir de maintenant, toute pensée aura son appui,
J’accuserai 20 tautologies, et 30 euphémisme chaque nuit.
À bas les mythes, par une post-ideologie sans limites.
Un cœur froid, numérique et smart. Empathique ? Uniquement à la carte.
C’est à moi que tu parles ? »
Superbe documentaire sur l’éloge du rien diffusé par Arte