Ma passion pour les échanges sur Twitter est sans limites. Surtout avec les brouteurs.

Une race sans vergogne, capable d’arnaquer vos arrières-grands pères pour 100 balles.

Mais là, il s’agit autre chose.

Alfred Weed m’a contacté. J’ignore pourquoi. Il est soi-disant dealer. Il a commencé à me parler gentiment. C’était doux, enfumé, drôle.

J’ai immédiatement cru que c’était un brouteur, voir un chasseur de brouteur, croyant que j’étais un brouteur.

Le problème, c’est que ce n’est pas un brouteur…

Là, je me demande si c’est une arnaque d’un nouveau genre. Je ne comprends pas trop ce qu’il me dit. Je décide d’inventer un nouveau langage.

Il semble être très occupé.

Le coup du « dring dring » semble fonctionner.

Là, je veux arrêter. Vraiment.

Mais un ami m’en dissuade….

Je sens que c’est la fin…. il est très poli et commercial, mais faut pas pousser.

Je me dis que je vais arrêter quand soudain….

Voilà.

C’est la fin de notre amitié. Était-elle réelle? Que devient Alfred? N’était-il qu’un mirage dans le monde obscur des réseaux? Était-il réellement un vendeur de drogue? Je ne le saurais jamais…

Finalement, Alfred est resté pro et agréable. Je ne suis pas sûr du bien-fondé de nos échanges ni de leurs justesses.

Tant pis…

Il faut que je me console…

Sephora vient de me contacter. Et j’augure les prémices d’un grand amour en devenir…